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Grand Merci à NDI, Grand Merci à Vous !!! Mes remerciements s'adressent également à tous ceux qui par le nombre de leurs visites de mon blog ont montré l'intérêt qu' ils portaient aux articles que je publiais , ce qui m'a encouragé à poursuivre et surtout à m'engager à faire plus et mieux dans les mois à venir. Jacqueline PENGE

dimanche 7 décembre 2014

L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR EN AFRIQUE

 L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR EN AFRIQUE


L'éducation est l'un des moteurs de la croissance économique et du développement.Ce fait est reconnu par tous.
Concernant l'éducation aux niveaux primaire et secondaire, l'on remarque des avancées visibles en Afrique. Mais au niveau de l'enseignement Supérieur, il y a encore beaucoup d'effort a fournir pour pouvoir former des cadres, des ingénieurs , des chercheurs et autres intelligences qui pourront permettre le développement de l'Afrique et pourquoi pas de rattraper les pays plus avancés.   
A l'échelle Internationale, les universités Africaines ont une place à Conquérir. Elles sont inexistantes dans les classements des tops 100 et même 200 des grandes universités dans le monde. Dans la recherche des universités dont les diplômes ne seront pas contestés sur le marché de l'emploi et dont les enseignements sont dispensé dans un environnement répondant aux normes, les étudiants Africains ont trouvé la solution de la mobilité vers l'étranger. Mais cette mobilité n'est pas accessible à tous. Pour aller étudier à l’étranger, il faut des moyens financiers que la plupart d'étudiants n'ont pas. Les parents ne peuvent prendre en charge les frais d'étude de leurs enfants à l'étranger,les besoins primaires étant encore nombreux.


Notre Camarade du PPRD, Isabelle Tshibuabua dispensant son cours d'Anglais a L'Institut Superieur de Commerce(ISC) à Matadi dans la province du Bas Congo(RDC)







Cette mobilité peut être positive lorsque les étudiants partis étudié à l'étranger gagnent en expertise et reviennent dans leur pays d'origine. Pourtant, c'est l'inverse qui se produit et l'Afrique est victime d'une fuite de cerveaux.


De plus, l'Afrique dans son effort pour atteindre l'objectif de l'éducation pour tous n'avait prévu ni infrastructures ni nombres d'enseignants pour faire face à la croissance explosive des effectifs dans l'enseignement supérieur. Les effectifs scolarisés en Afrique subsaharienne sont passés de 200 000 à 4,5 millions entre 1970 et 2008 selon le rapport de la Banque mondiale. Il y a donc eu plus d'étudiants ce qui a conduit à un manque de places au sein des universités. Il est donc urgent pour les États Africains de mieux se préparer en perspective de la croissance démographique des années à venir.
Réfléchissons donc tous a ce qui pourrai être fait pour améliorer les conditions de l'enseignement supérieur en Afrique.
Grand merci à vous, enseignants d'Afrique  pour l'esprit de sacrifice et le sens des responsabilités; 
Grand merci aux  Gouvernements des pays Africains qui font de leur mieux pour que nos enfants puissent étudier dans les meilleurs conditions.

                                                                                Jacqueline PENGE SANGANYOI

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