bande défilante

Grand Merci à NDI, Grand Merci à Vous !!! Mes remerciements s'adressent également à tous ceux qui par le nombre de leurs visites de mon blog ont montré l'intérêt qu' ils portaient aux articles que je publiais , ce qui m'a encouragé à poursuivre et surtout à m'engager à faire plus et mieux dans les mois à venir. Jacqueline PENGE

mardi 19 mars 2019

Déclaration du Bureau politique du PPRD suite aux destructions méchantes ayant visé ses permanences dans les villes de Kinshasa et de Mbujimayi

En date du 15 mars 2019, les assemblées provinciales ont procédé à l’élection des sénateurs, conformément au calendrier fixé par la CENI. Les résultats publiés par la CENI ont établi et confirmé les tendances déjà notées lors des scrutins législatifs et provinciaux, à savoir que le PPRD est la première force politique de la RDC, au regard du nombre de ses élus tant nationaux que provinciaux dont les 34 Sénateurs PPRD élus en cette date.

Le samedi 16 mars 2019, des militants de l’UDPS ont élevé leurs protestations du fait que leur parti n’ait pas réussi à obtenir un seul siège au Sénat, alors qu’ils avaient suffisamment des députés provinciaux, notamment dans la ville de Kinshasa (12) et dans la province du Kasaï Oriental (…). Il s’en sont pris violemment aux forces de l’ordre et aux permanences du PPRD saccagées à Mbuji-Mayi et à Kinshasa-FUNA, sur l’avenue SENDWE. Dans un déferlement de ces  violences, ils ont mis à mort un policier à Mbuji-Mayi, le Capitaine BAMPENGA SHELENGE SHA MBUYI. 


A la suite de ces incidents malheureux, les instances dirigeantes de l’UDPS ont formulé des allégations de corruption, déclaré leur intention de remettre en cause le processus électoral et d’obtenir le report des scrutins des Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province.
Le bureau politique du PPRD, réuni, ce lundi 18 mars 2019, tient à faire la mise au point ci-après : 

  1. Les sénateurs sont élus au second degré par les assemblées provinciales conformément à l’art. 104 al. 5 de la Constitution. De ce fait, il revient aux députés provinciaux de procéder à l’élection des sénateurs. 
  2. Les allégations de corruption à charge des députés UDPS ne peuvent être prises en compte que si elles sont établies par des voies judiciaires. Il reviendrait donc à l’UDPS d’en fournir les preuves devant les instances judiciaires, ce qui pourrait entrainer non pas l’annulation des scrutins, mais tout au plus la condamnation des personnes à charge desquelles l’infraction de corruption serait établie.
  3. Le calendrier électoral est publié par la CENI. Il ne revient donc pas à un parti politique de décider unilatéralement du report des scrutins concernant les Gouverneurs et Vice-gouverneurs de province.
  4. Les députés ont voté  en âme et conscience, car leur mandat n’est pas impératif. Il revient à chaque parti de sensibiliser ses députés et de monter des stratégies adéquates pour les fidéliser conformément aux orientations de leurs instances dirigeantes. C’est pourquoi il est utile de bien gérer les ambitions au sein des partis pour se prémunir contre la dispersion des voix, ce qui manifestement aura été le cas de l’UDPS à Kinshasa et dans le Kasaï oriental où ce parti n’a pu obtenir quelques sièges. A cette occasion, le PPRD rappelle, fort de son expérience que, malgré ses députes en nombre élevé  à Kinshasa, au Kwilu, au Kongo Central et à l’Equateur n’a eu aucun Sénateur et n’a pas mis ses militants dans la rue pour des manifestations violentes. De même, pour l’élection du Président du Sénat en 2007, malgré sa majorité absolue, le Sénateur KENGO WA DONDO de l’Opposition à l’époque a été élu au détriment du candidat SHE OKITUNDU, soutenu alors par la Majorité. Point n’est besoin de rappeler qu’en 2007, dans la province de SUD KIVU avec 12 députés provinciaux, le PPRD n’avait obtenu aucun Sénateur. Le PPRD n’a pas réagi violemment et, est resté attaché aux valeurs républicaines et à l’Etat de Droit.


En conséquence, le PPRD, victime des actes ignobles et barbares perpétrés contre ces permanences, et profondément choqué par les agressions meurtrières contre des agents de l’ordre dans l’exercice de leurs fonctions, présente ses condoléances à la Police Nationale Congolaise, à la Famille biologique de l’illustre disparu et au Président de la République, Commandant Suprême des Forces Armées de la République démocratique du Congo et de la Police Nationale :

Le PPRD condamne avec la dernière énergie l’usage de la violence à des fins politiques, les actes d’intimidation posés par des militants de certains partis politiques en violations des lois, l’absence de condamnation par les instances dirigeantes de l’UDPS du recours systématique à la violence de rue, l’instrumentalisation de la rue pour empiéter sur les prérogatives des institutions légalement établies ;

Le PPRD Exhorte les instances judiciaires à poursuivre les auteurs des actes de vandalisme ayant visé les permanences du PPRD, les violences et voies de fait ayant entrainé la mort atroce d’un policier à Mbuji-mayi, ainsi que les agressions inqualifiables menées contre des élus, fussent-ils de l’UDPS, et contre leurs biens à Kinshasa et à Mbuji-mayi ;

Le PPRD Mobilise tous ses Militants, toutes ses  fédérations provinciales, tous ses candidats  aux scrutins des Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province, à ne pas céder aux intimidations, à demeurer résolument engagés pour la victoire de nos candidats aux scrutins du 27 mars 2019, à confirmer une fois encore que notre parti demeure la première force politique en République démocratique du Congo.

Le PPRD reste  attaché à sa doctrine, qui consacre « l’amour de la patrie et l’engagement ferme de ne jamais trahir le Congo » selon sa devise « Unité, action, Progrès, Solidarité ».

Source : LE BUREAU POLITIQUE


Jacqueline PENGE SANGANYOI

Déclaration du Bureau politique du PPRD [format Audio - MP3 et MP4]





Jacqueline PENGESANGANYOI

jeudi 14 mars 2019

Sahle-Work Zewde, présidente de l’Ethiopie : « Les femmes doivent être à la table des décisions »


Sahle- Work est actuellement la seule femme à la tête d’un État en Afrique.Diplomate de carrière, la lutte pour les droits des femmes est sa priorité.

Sahle-Work Zewde, née le 21 février 1950 à Addis-Abeba, est une diplomate et femme d'État éthiopienne, présidente de la République depuis le 25 octobre 2018. Elle est la première femme à exercer cette fonction

Elue à la présidence de l’Ethiopie en octobre 2018, Sahle-Work Zewde est actuellement la seule femme à la tête d’un Etat en Afrique. Diplomate de carrière, elle a fait de la lutte pour les droits des femmes une priorité. Même si sa fonction est purement honorifique – le premier ministre Abiy Ahmed dirige l’exécutif –, Sahle-Work Zewde veut inspirer les femmes et les hommes de son pays. Elle était l’invitée samedi 9 mars de l’émission « Internationales » de TV5 Monde, en partenariat avec Le Monde et RFI. (Cette émission a été enregistrée la veille du crash du Boeing 737 MAX).

https://youtu.be/GHZgLu7UO00

Source : https://www.lemonde.fr/


#Femmes #DroitsDesFemmes 
Jacqueline PENGE SANGANYOI