bande défilante

Grand Merci à NDI, Grand Merci à Vous !!! Mes remerciements s'adressent également à tous ceux qui par le nombre de leurs visites de mon blog ont montré l'intérêt qu' ils portaient aux articles que je publiais , ce qui m'a encouragé à poursuivre et surtout à m'engager à faire plus et mieux dans les mois à venir. Jacqueline PENGE

samedi 25 octobre 2014

JEAN PIERRE BEYA, NOTED FOR ITS ETHICAL WAY OF WORKING.

I want to share this testimony with participants of the Academy of women. Remember my sisters examples on the "Mbote ya roulage " and the behavior of some police officers responsible for the training of traffic. This testimony edified me and touched.

Jean Pierre BEYA
Jean-Pierre Beya is a familiar face on Avenue Colonel Lukusa. I used to encounter him on the drive to school every morning as he regulated traffic. Beya has one of those faces that can’t go unnoticed. He exuberates a smile and happiness that extend to those in the cars that pass him by every day.



Beya has been working on the same avenue since 1997. Today, I introduced myself for the first time and asked if he would accept to be the first Congolese featured on this page. To my surprise, Beya tells me that he remembers me from my days as a student in middle school. 


But I am not the only one to have noticed Beya’s energy and dedication to his work. He tells me that his most memorable experience so far is "when I received an invitation from the American ambassador in 2009 to attend an event at the American Embassy of Kinshasa. He told me that he [the ambassador] noticed my ethical way of working. And since then I have been attending that event.”



Jean Pierre BEYA, at work on the avenue colonel LUKUSA

Right before I was about to leave he asked to share another story:

“I remember when MONUSCO (United Nations Mission in the Democratic Republic of Congo) arrived here...They sent a team of journalists to put a piece together about me. I was quite shocked that I was the one they picked as the best traffic police. The package aired on a number of TV stations. I still have the tape at my place. This really really touched me.”



Jacqueline PENGE SANGANYOI

vendredi 24 octobre 2014

Grand Merci à NDI, Grand Merci à Vous !!!



" Grand Merci à NDI pour le choix porté sur ma modeste personne pour être la Blogueuse du mois de septembre 2014.

Mes remerciements s'adressent également à tous ceux qui par le nombre de leurs visites de mon blog ont montré l'intérêt qu' ils portaient aux articles que je publiais , ce qui m'a encouragé à poursuivre et surtout  à m'engager à  faire plus et mieux dans les mois à venir.

Jacqueline PENGE SANGANYOI


Le projet Molongi de NDI a été une révélation pour moi et je profite de cette occasion pour encourager les femmes politique de la RDC à avoir un Blog.

LA BLOGUEUSE DU MOIS DE SEPTEMBRE [Article publié par NDI]


La « blogueuse du mois », ce n’est pas seulement celle qui a publié le plus d’articles au cours du mois qui s’est écoulé, mais c’est aussi celle qui a réussi à se démarquer des autres, tant par le contenu de ses articles que par leur originalité.
C’est pour cela que a NDI a décidé de choisir Jacqueline Penge Sanganyoi comme blogueuse du mois de Septembre, non seulement pour son travail, mais aussi, et particulièrement, pour son article en ANGLAIS qui, bien qu’étant une idée inattendue s’est trouvée être originale et bienvenue. Nous vous invitons à découvrir son profil détaillé en visitant sa page blog au lien suivant http://jacquelinepenge.blogspot.com/.

 « Je suis intéressée par cette initiative (Blog) parce qu'elle permet non seulement de faire connaître les femmes politiques de la RDC au delà de leurs partis politiques, et même des frontières de la République, mais aussi parce qu’elle me donne la possibilité d'échanger et partager avec des internautes sur des sujets variés tels que la protection et promotion de la femme, les Objectifs du Millénaire pour le Développement, l'économie, le social et la politique en RDC, l'émancipation économique des femmes africaines, la santé,... ou des sujets qui terrifient ou interpellent comme celui du virus Ebola, ce qui depuis m'a poussé à m'intéresser un peu plus qu'avant à l'actualité tant nationale qu'internationale ».



Le projet Molongi l’a aussi aidée à réaliser un aspect que beaucoup de personnes semblent négliger. « Il est plus facile et moins coûteux de se faire connaître au travers des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et des Communications), et les Blogs sont un moyen efficace de donner beaucoup plus d'information sur sa personne, ses opinions et sur ses activités ».



NDI voudrait donc féliciter Jacqueline pour son travail abattu sur son blog et encore une fois encourager les autres femmes à aspirer à être la prochaine « blogueuse du mois ».


Jacqueline PENGE SNGANYOI

Dr Denis MUKWEGE, "Docteur miracle", lauréat du prix Sakharov.

" Enfin récompensé !!!

Quelle joie et quelle émotion j'ai ressenti en apprenant que le Dr Denis MUKWEGE est Lauréat du prix SAKHAROV depuis ce mardi 21 octobre 2014.

Un Grand chirurgien, un  homme exceptionnel craignant Dieu et portant en lui l'amour de son prochain. Il a beaucoup fait pour nous femmes de la République Démocratique du Congo et plus particulièrement pour celle de l'est du pays.

Le docteur Denis Mukwege s'est vu récompensé, ce mardi, par le prix Sakharov. - © Hugues Honoré - AFP


Cet homme a pris des risques, régulièrement menacé jusqu'à échapper de peu à la mort en 2012 à cause de sont combat  contre les innombrables violences sexuelles commise en RDC en temps de guerre.

Félicitations et grand merci au Docteur MUKWEGE, réparateur des femmes. Que notre Seigneur se souvienne de lui et de sa famille.

Pour en savoir un peu plus, lisons ensemble l'article qui suit:

Jacqueline PENGE SANGANYOI


Ce gynécologue congolais, plusieurs fois pressenti pour le Nobel de la paix, s'est vu récompenser par le prix Sakharov, une récompense européenne "pour la liberté de l'esprit". Son combat? Lutter contre les innombrables violences sexuelles commises sur les femmes en RDC. Portrait.

  

"Depuis quinze ans, je suis témoin d'atrocités de masse commises sur le corps des femmes et contre les femmes et je ne peux pas rester les bras croisés, car notre humanité commune nous invite à prendre soin les uns des autres."

C'est avec ces mots simples que le gynécologue congolais Denis Mukwege, récompensé ce mardi par le prix Sakharov , expliquait en décembre 2013 son engagement au service de dizaines de milliers de femmes de son pays, victimes d'une violence indicible et qu'il aide à se reconstruire.

Il travaille en RDC lors des heures les plus sombres que traversent son pays

Agé de 59 ans, le Dr Mukwege aurait pu rester vivre et travailler en France après ses études. Il a fait le choix de retourner dans son pays, la République démocratique du Congo (RDC), et d'y rester aux heures les plus sombres.

Son combat pour la dignité des femmes, premières victimes des conflits qui ravagent l'est de la RDC depuis plus de vingt ans, l'expose au danger. Régulièrement menacé, il a échappé de peu un soir d'octobre 2012, grâce au sacrifice d'un domestique, à une attaque d'hommes armés venus chez lui pour le tuer.

Né en mars 1955 à Bukavu, dans l'est de ce qui est encore le Congo belge, Denis Mukwege est le troisième fils d'une famille pentecôtiste de neuf enfants. Après des études de médecine au Burundi voisin, il revient dans sa ville natale pour exercer à l'hôpital de Lemera. Là, il découvre et vit au quotidien les souffrances de femmes qui, faute de soins appropriés, souffrent régulièrement de graves lésions génitales après un accouchement.

Il vivra comme un déplacé de guerre

A la faveur d'une bourse, il part étudier en France pour se spécialiser en gynécologie-obstétrique à Angers. De retour à Lemera en 1989, il y anime le service gynécologique. Lorsque la guerre éclate en 1996 dans l'est du pays, l'hôpital est totalement dévasté.

Le médecin vit alors comme un déplacé de guerre, côtoie la misère de ceux qui ont fui les combats. Il décide de fonder un hôpital dans le quartier Panzi, dans le sud de Bukavu, pour soigner les femmes victimes de la barbarie des différents groupes armés qui s'affrontent et saccagent l'est de la RDC, très riche en ressources naturelles, notamment minières. Il en est aujourd'hui le directeur et chirurgien en chef.

"Ma première malade en 1999 avait été violée, puis on lui avait introduit une arme dans l'appareil génital et fait feu, elle avait tout le bassin détruit. Je pensais que c'était l'oeuvre d'un fou mais la même année, j'ai soigné 45 cas semblables", se souvient-il.

3.500 victimes soignées gratuitement chaque année

L'hôpital de Panzi prend en charge gratuitement chaque année plus de 3.500 victimes de violences sexuelles et leur permet de bénéficier d'une chirurgie reconstructive.

Surnommé "Docteur miracle" pour toutes ces femmes à qui son combat obstiné permet de revivre après l'anéantissement et l'humiliation, le médecin est devenu célèbre bien au-delà des frontières de son pays.

Le viol comme une une arme de guerre

Depuis quelques années, ce colosse débordant d'énergie est régulièrement récompensé en Europe et aux Etats-Unis pour son action. Il se sert de sa notoriété pour témoigner d'une voix douce de son empathie pour ses patientes et dénoncer le viol qui, "utilisé comme une arme de guerre, (...) détruit le tissu social, entraîne une perte d'identité collective, détruit toutes les croyances".

Marié et père de cinq enfants, responsable d'une église locale, le Dr Mukwege est un passionné de nature et de marche qui reconnaît "ne pas concevoir la guérison sans la participation de Dieu".

Il lance un mouvement féministe masculin

L'attentat auquel il a échappé en 2012 l'a fait redoubler d'ardeur. Après s'être réfugié avec sa famille en Suède puis en Belgique, il rentre en janvier 2013 à Bukavu où des milliers de personnes l'accueillent chaleureusement. Il déclare alors être rentré pour dire "non à la violence sexuelle, non à la guerre".

Depuis le début de l'année, il a lancé un mouvement féministe masculin, V-Men Congo , et appelé à une "mobilisation générale" contre un nouveau fléau : les viols d'enfants et de bébés.



vendredi 17 octobre 2014

Adhésion des mamans Veuves du Congo au PPRD.


En date du 04 octobre 2014, deux mille cinq cent mamans veuves de l'association des mamans veuves du Congo "MVC" en sigle ont adhéré au Parti du peuple pour la Reconstruction et la Démocratie.

La cérémonie d'adhésion à été présidé par le Camarade Secrétaire Général du PPRD, le Professeur Evariste BOSHAB qui était accompagné  de quelques membres du Comité Exécutif National du PPRD ainsi que de quelques fédéraux PPRD de la ville province de Kinshasa.
 Secrétaire Général du PPRD, le Professeur Evariste BOSHAB.

Le lieux de la cérémonie avait été particulièrement bien choisi par la Fédération PPRD de Funa II. C'était la maison des anciens combattants dans la commune de Kasa-Vubu. Quoi de plus normal pour accueillir les veuves des militaires qui pour la plupart étaient  tombés au front.

Vue des mamans veuves de l'association des mamans veuves du Congo "MVC"

Vue des mamans veuves de l'association des mamans veuves du Congo "MVC"


Profitant de l'occasion, le Camarade Secrétaire Général du PPRD a échangé avec les adhérentes sur les enjeux politiques de l'heure en République Démocratique du Congo ( les élections locales, la révision constitutionnelle.....) et sur la  prime de veuvage qu'il fallait absolument revoir à la hausse.
La ligue des femmes du PPRD se réjouit de compter dans ses rangs 2500 femmes de plus.

Quelques membres du Comité Exécutif National du PPRD ainsi que de quelques fédéraux PPRD de la ville province de Kinshasa


Que vive la ligue des femmes !!
Que vive le PPRD !!

Jacqueliene PENGE SANGANYOI

lundi 6 octobre 2014

Fact sheet: Ebola, how it's spread, symptoms & treatment.

What is Ebola?
Ebola, previously known as Ebola hemorrhagic fever, is a rare and deadly disease caused by infection with one of the Ebola virus strains. Ebola can cause disease in humans and nonhuman primates (monkeys, gorillas, and chimpanzees).

Ebola viruses are found in several African countries. Ebola was first discovered in 1976 near the Ebola River in what is now the Democratic Republic of the Congo. Since then, outbreaks have appeared sporadically in Africa.

.


The natural reservoir host of Ebola virus remains unknown. However, on the basis of evidence and the nature of similar viruses, researchers believe that the virus is animal-borne and that bats are the most likely reservoir. Four of the five virus strains occur in an animal host native to Africa.

How is Ebola spread?
Ebola is spread through direct contact (through broken skin or mucous membranes) with

- blood or body fluids (including but not limited to urine, saliva, feces, vomit, and semen) of a person who is sick with Ebola
- objects (like needles and syringes) that have been contaminated with the virus
- infected animals

Ebola is not spread through the air or by water, or in general, food. However, in Africa, Ebola may be spread as a result of handling bushmeat (wild animals hunted for food) and contact with infected bats.
Healthcare providers caring for Ebola patients and the family and friends in close contact with Ebola patients are at the highest risk of getting sick because they may come in contact with infected blood or body fluids of sick patients.

During outbreaks of Ebola, the disease can spread quickly within healthcare settings (such as a clinic or hospital). Exposure to Ebola can occur in healthcare settings where hospital staff are not wearing appropriate protective equipment, including masks, gowns, and gloves and eye protection.
Once someone recovers from Ebola, they can no longer spread the virus. However, Ebola virus has been found in semen for up to 3 months. People who recover from Ebola are advised to abstain from sex or use condoms for 3 months.



What are the symptoms?
Symptoms of Ebola include


  • Fever (greater than 38.6°C or 101.5°F)
  • Severe headache
  • Muscle pain
  • Weakness
  • Diarrhea
  • Vomiting
  • Abdominal (stomach) pain
  • Unexplained hemorrhage (bleeding or bruising)

Symptoms may appear anywhere from 2 to 21 days after exposure to Ebola, but the average is 8 to 10 days.

Recovery from Ebola depends on the patient's immune response. People who recover from Ebola infection develop antibodies that last for at least 10 years.

How is Ebola treated?
No specific vaccine or medicine (e.g., antiviral drug) has been proven to be effective against Ebola.
Symptoms of Ebola are treated as they appear. The following basic interventions, when used early, can significantly improve the chances of survival:


  • Providing intravenous fluids (IV)and balancing electrolytes (body salts)
  • Maintaining oxygen status and blood pressure
  • Treating other infections if they occur

Some experimental treatments developed for Ebola have been tested and proven effective in animals but have not yet been tested in randomized trials in humans.

Recovery from Ebola depends on the patient's immune response. People who recover from Ebola infection develop antibodies that last for at least 10 years, possibly longer.

All information from the Centers for Disease Control and Prevention.

samedi 4 octobre 2014

Rencontre des représentantes des femmes des Partis Politiques retenus au programme de NDI.

A la demande de l’USAID, le NDI a organisé le mardi 23 Septembre 2014 dans les bureaux de l’USAID situés à Kinshasa près de la gare centrale, une réunion d’échange entre les spécialistes électoraux Américains et les représentantes des femmes des Partis Politique retenues au programme de NDI (PPRD, ARC, AFDC, UDPS, MLC et UNC).

les spécialistes électoraux Américains avec les représentantes des femmes des Partis Politique retenus au programme de NDI.

Les échanges ont porté essentiellement sur les point ci-après :
  1. La position et avis des partis politiques par rapport aux enjeux de l’heure ;
  2. La CENI, le processus électoral, le choix des scrutins, report des élections ou non, les majeurs non pris en comptes dans le fichier électoral, budget…. :
  3. La place de la femme dans nos partis Politiques, va-t-elle se présenter aux prochaines élections ou non ?
  4. Les femmes des partis politiques sont-elles pour le dialogue afin de trouver le consensus, ou contre le dialogue.
J'encourage mes sœurs des partis politiques à se poser les mêmes questions qui vont leurs permettre de maîtriser la position de leurs Partis sur les enjeux de l'heure.

Jacqueline PENGE SANGANYOI

jeudi 2 octobre 2014

FLASH ! FLASH ! FLASH ! EBOLA : Premier cas d'infection diagnostiqué aux États-Unis.

Le premier cas d'un malade ayant contracté le virus Ebola a été diagnostiqué aux États-Unis, a indiqué aujourd'hui un porte-parole des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Le malade, un homme, avait voyagé au Liberia et est actuellement hospitalisé au Health Presbyterian Hospital à Dallas, au Texas (sud), où il a été placé en soins intensifs.

Plus tôt dans la journée, l'hôpital texan avait indiqué dans un communiqué avoir admis ce même patient. "Au regard des symptômes et des récents voyages effectués nous l'avons admis à l'hôpital et placé en quarantaine pour déterminer s'il a été infecté par le virus Ebola", était-il précisé sans autres indications. Son infection a donc été confirmée par des analyses effectuées par les CDC (Centers for diseases control and prevention). L'hôpital n'a pas indiqué l'identité du patient ni son âge.

Vue du Lit de l'espace de quarantaine pour les personnes infectées.

Mardi soir, le CDC a donné une conférence vidéo, au cours de laquelle il a été confirmé que le patient aurait pris l'avion au Libéria le 19 septembre. Arrivé aux Etats-Unis le lendemain, il n'aurait commencé à ressentir les premiers symptômes que 4 à 5 jours plus tard, et aurait cherché à se faire soigner le 26 septembre. 

Le directeur du CDC, Thomas Frieden, a rappelé à l'occasion de cette conférence que le virus Ebola n'était transmissible qu'à partir du moment où les symptômes ont commencé à se développer. Ce qui implique que les passagers qui ont emprunté le même vol que le malade ne sont pas en danger. En revanche, le déroulement des événements décrit par le CDC semble indiquer qu'il existerait une fenêtre de quelques jours au cours de laquelle le malade aurait potentiellement pu contaminer d'autres personnes autour de lui : entre le 24 ou 25 septembre, date du début des symptômes, et le 29 septembre, jour où il a été placé à l'isolement au Health Presbyterian Hospital de Dallas. 

La prochaine étape pour les autorités sanitaires va donc être d'identifier l'ensemble des personnes qui ont été en contact avec cette personne après son arrivée sur le sol américain. Elles seront ensuite placées sous surveilance pendant 21 jours, pour voir si elles développent de la fièvre, a expliqué le directeur du CDC. Thomas Frieden, estime que ces personnes pourraient être au nombre d'une "poignée", probablement parmi les membres de sa famille. "Je n'ai absolument aucun doute que nous allons contrôler ce cas et faire en sorte qu'il ne s'étende pas au reste du pays", a-t-il martelé. 

"Je crois qu'il s'agit du premier cas diagnostiqué hors d'Afrique", a ajouté le Dr Tom Frieden.

Thomas R. Frieden est le Directeur des  U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et de l'administrateur de l'Agence pour les substances toxiques et les maladies (ATSDR)

Dimanche, un médecin américain en contact avec le virus Ebola en Sierra Leone a été rapatrié et placé en quarantaine dans une clinique des Instituts américains de la santé (NIH). Le patient dont l'identité n'a pas été révélée travaillait comme volontaire dans un centre de traitement d'Ebola en Sierra Leone. Deux médecins américains et une missionnaire aide-soignante rapatriés aux Etats-Unis après avoir contracté le virus au Liberia ont été dernièrement guéris.

L'épidémie d'Ebola, la plus grave depuis l'apparition du virus en 1976, a franchi le cap des 3.000 morts, le virus ayant tué près de la moitié des quelque 6.500 personnes infectées recensées, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Sur un total de 6.574 malades d'Ebola dans cinq pays d'Afrique d'Ouest, 3.093 sont mortes, précise l'OMS dans un dernier bilan arrêté au 23 septembre.

mercredi 1 octobre 2014

Le monde est en alerte et l'Afrique vit dans la crainte.

Quoi de plus terrifiant que de savoir qu'il y a si près de chez nous une Épidémie difficile à maîtriser. Et quelle Épidémie ?
C'est L'Ebola, un tueur impitoyable. Ce qui se dit sur les médias ne nous rassure pas beaucoup. Et pourtant, l'Afrique à besoin d'être rassuré pour avoir le courage de continuer sur sa lancée de développement.
Virus d'Ebola


Comment faire alors pour ôter cette épée de nos têtes?

Et nous femmes de la RDC, que pouvons nous faire pour protéger nos familles de cette maladie ?

Quel degré d'hygiène apporter dans nos maisons? Comment pouvons nous aider ceux qui n'ont pas accès aux médias?
Un patient souffrant d'Ebola dans un centre de MSF .

Afin de mieux répondre à toutes ces préoccupations et dans l'objectif de ne pas dénaturer l'information, je vous invite à suivre ces différents liens:

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140325151747/

http://www.infosplusgabon.com/index.php/actualites/submenu-1/1270-rdc-42-personnes-ont-trouve-la-mort-suite-a-lepidemie-ebola

http://www.rtl.fr/actu/international/ebola-en-rdc-l-epidemie-en-passe-d-etre-maitrisee-40-morts-7774415153


Carte Interactive du Virus d'Ebola en Afrique de 1976 à 2014
Bonne lecture!!!

Jacqueline PENGE SANGANYOI